Pour compiler, exécutez ces commandes depuis la racine du repo git:
make setup
make
Une fois le code compilé, il est intéressant de l'exécuter (ou sinon à quoi bon le compiler). Avant d'exécuter le code, il est recommandé d'exécuter les tests.
./build/bin/qrd_server_tests
./build/bin/qrd_client_tests
A priori les tests client devraient tourner sans soucis. En revanche, il est possible que les tests serveur échouent. Ces échecs sont sûrement dûs à un de ces deux problèmes potentiels.
- La base de donnée n'est pas active dans quel cas il faut contacter le groupe (très peu probable).
- Le firewall bloque le port 47984 (plus probable).
La base de donnée se situe à l'adresse 46.101.255.42
au port 47984
. D'après nos tests, ce port n'est pas bloqué par Eduroam. Mais au cas où il suffit juste de nous informer pour que l'on mette à jour le port afin que la base de donnée soit accessible sur le réseau Eduroam.
Il faut aussi noter que c'est possible de faire tourner la base de donnée sur les machines du NO, mais cela est une perte de temps car la compilation de mongod prend particulièrement longtemps pour au final utilisé un programme identique à celui sur le serveur de notre base de donnée.
Si vous souhaitez tout de même avoir une instance de la base de donnée en local, il suffit de suivre les instructions dans la tarball téléchargeable ici.
Ou sinon avec Docker:
docker run -d -e MONGO_INITDB_ROOT_USERNAME=quoridor -e MONGO_INITDB_ROOT_PASSWORD=ulb123 -p 47984:27017 --name mongodb mongo:4.0.4
Bref c'est une perte de temps de faire tourner la base de donnée en local au NO, mais on peut.
./build/bin/server
Avant d'exécuter le client en mode no gui, il est nécessaire de mettre la taille de la police du texte du terminal à 11 ou moins. Aussi, pour assurer la bonne exécution du programme, faites tourner le client une fois que le serveur est actif.
C'est mieux de faire tourner le client une fois que le serveur est actif (ou sinon ça ne marche pas).
./build/bin/client [--no-gui]
Afin de faciliter la tache, des utilisateurs sont déjà existants.
Utilisateur 1:
Username: RickAstley
Password: NeverGonnaGiveYouUp
Utilisateur 2:
Username: MichaelJackson
Password: Thriller
Utilisateur 3:
Username: ThierryMassart
Password: Mooc
Utilisateur 4:
Username: Jerome
Password: OnPeutAvoirUneBonneNoteSvp
Installation Docker
Docker permet en gros de compiler et faire tourner le code dans un environment identique sur toutes les machines. Le fichier compilé tourne dans un container avec l'argument run. Ce container redirige son port 1234 vers le port 1234. Si les commandes ne fonctionnent pas, il faut les exécuter avec sudo en prefix.
docker build -t quoridor .
docker run --name quoridor_server -it -d --rm -p 1234:1234 quoridor
Pour voir les logs du container:
docker logs quoridor_server
Pour s'accrocher au container:
docker attach quoridor_server
Pour voir les containers en cours:
docker ps
Pour voir les images (ce que docker build
crée):
docker images
Pour supprimer une image:
docker rmi image_name
Pour arrêter le container:
docker stop quoridor_server
Cette section est principalement dédiée à ceux participant à la création du projet.
Le formatage est géré par clang-format
, assurez-vous de
l'avoir installé sur votre machine.
Pour être sûr de jamais l'oublier, exécutez ces commandes depuis la racine du repo :
chmod +x hooks/pre-commit
ln hooks/pre-commit .git/hooks
Lorsque vous finissez de travailler sur la fonctionnalité de votre branche, ouvrez toujours un PR. Ça va nous éviter d'avoir trop de branches qui partent dans tous les sens et de devoir tout merge d'un coup.
En règle générale, nous pouvons répartir les includes en 4 groupes de différentes priorités. Chaque groupe doit être séparé des autres par un retour à la ligne. Du plus prioritaire au moins, nous avons :
- header d'un fichier cpp;
- headers locaux au projet;
- headers d'une (ou plusieurs) librairie(s) extre(s);
- headers de la librairie standard.
En suivant cet ordre, nous pouvons nous assurer d'une zone d'includes organisée et facilement navigable.
#include "header.h"
#include "board.h"
#include "players.h"
#include <cryptopp>
#include <string>
#include <vector>
Veillez aussi à ne mettre aucun using namespace ...
dans les headers, seulement dans les cpp.
Veillez à ne mettre que les includes absolument nécessaires dans les headers. Si une simple déclaration suffit, préférez cela et déplacez l'include en question dans le fichier cpp. Cela peut grandement améliorer les temps de compilation en plus de réduire les dépendances entre fichiers (moins de couplage!).
Par exemple :
// w.h
class Widget {
...
};
//a.h
class Widget; // au lieu de #include "w.h"
auto f(Widget &) -> void;
//a.cpp
#include "w.h"
...
//b.h
#include "a.h" // w.h n'est pas copié ici
...
// Si w.h change, seul a.cpp va être recompilé et non tous les fichiers qui incluent a.h.
Et bien évidemment, aucune implémentation dans les headers. À la limite les getters et les setters.
Préférez, si possible, l'initialisation uniforme. Sa syntaxe est la suivante :
int var{ 9 };
Elle est meilleure car peut être utilisée partout et prévient contre la perte de données. Et surtout, c'est la méthode recommandée pour le c++ moderne.